Golan HAJI est kurde syrien. Poète, essayiste et traducteur, il est également diplômé en médecine. Il écrit en arabe et traduit de l’anglais, du français et du kurde (Kurmanji). Il vit actuellement à Saint Denis, en région parisienne. Ses poèmes et ses articles ont été traduits en de nombreuses langues. Ils sont disponibles dans diverses revues et anthologies. Entre autres : the Paris Review, Agni, Prairie Schooner, Europe, Iowa International Writing Program publications and the Penguin Book of the Prose Poem. Il a participé à des festivals de poésie dans de nombreux pays. Il a travaillé avec des plasticiens et publié des livres d’art en plusieurs langues, dont certains ont été exposés à la Biennale de Venise de 2015. Il a écrit avec ou autours des plasticiens comme Bahram Hajo, Mohammad Omran, Fateh Al-Moudarres, Maurizio Cattelan, Ali Qaf, Walid El-Masri et Nagham Hodaifa.
Déjà paru au Port a jauni :
Une très grande partie des traductions des livres du Port a jauni, ainsi que :
Les lettres du fer, (illustratrions de Mohamad Omran)
Arbre dont j’ignore le nom, (illustrations de Pascale Lefebvre)
Mu’allaqa, un poème suspendu, (poèmes de Nathalie Bontemps et Golan Haji * illustrations de Philippine Marquier)
Les tireurs sportifs, (illustrations de Thomas Azuélos)
© portrait de Léa Hermann