Juliette Iturralde est allée dans une école maternelle où on chantait tous les matins. Les après midis on pouvait choisir peinture, dessin, céramique , vannerie ou couture. Selon sa mère, pendant les vacances quand elle passait devant, elle saluait son » école chérie ». C’était la passion. Après elle a déménagé et l’école s’est considérablement rétrécie. Pourtant aujourd’hui encore, qu’elle fasse des livres, des ateliers, des paniers ou qu’elle chante, elle sais bien qu’elle surfe encore sur l’élan de cette vague profonde encouragée et amplifiée par des adultes engagés et heureux.
Déjà paru au Port a jauni :
Je meurs d’amour et de colombes (poèmes d’Édith Azam )
© auportrait de Juliette Iturralde