Trois métiers : le journalisme, les ateliers d’écriture et l’enseignement universitaire.
Deux pays : le Liban et la France. Mais un seul fil rouge pour faire le lien entre tout ça : l’écriture. Georgia Makhlouf a publié des romans, des fragments autobiographiques, des essais, des carnets de route, mais entre elle et la littérature jeunesse, c’est une longue histoire à laquelle s’ajoute à présent un nouveau chapitre.

Déjà paru au Port a jauni :
Les lettres de l’éphémère, (peintures sur bois de Laurent Corvaisier)

© portrait de Léa Hermann